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Documentation version 3

Le Mysterieux Poison III

Rappel : Cette page a été rédigée par des joueurs du Territoire de Kiponie. En conséquence, il est possible que certaines informations soit erronées ou non mises à jour. Si vous remarquez une erreur ou un oubli, n'hésitez pas à modifier la partie correspondante.

1. Partie sans titre

Dernière édition : Helia an 78 AUC
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Mysterieux Poison


Chapitre III

Deux heures plus tard, dans le bureau de Watermelon, Nossu avait été convoqué mais il était mal en point. Le bel homme grand et riche à qui tout réussissait faisait pâle figure.
- Il faut parler maintenant Nossu, vous êtes mon seul suspect, nous avons retrouvé le cuisinier dont vous nous avez parlé, cela fait 4 jours qu’il est à Lapiaz chez sa sœur.
- Mais je suis innocent.
- Qui alors ?
- Il y a bien ce client …
- Je vous écoute.
- Un client bizarre, il mange toujours seul..., chaque soir, à la même table. Et hier soir, étrangement, il n’était pas là.
- Son nom ?
- Heu … je ne m’en souviens plus, on l’appelle tous le solitaire alors … Oh si! Il signe du nom de Drave je crois.

Watermelon décida d’aller avec ses hommes chez ce fameux Drave.

Ding, dong!
L’inspecteur, venait d'actionner la petite cloche et tapait du pied, ses trois collègues derrière lui, devant la porte de Vincent Drave.
- Y’a personne, on défonce !
La porte vola en éclat.
Là, dans la grande salle vide aux murs blancs, un spectacle macabre les attendait.
Au bout d’une corde, tout blanc, les yeux ouverts semblant regarder l’inspecteur et ses collègues, Drave était pendu.
Sur la table une lettre expliquait qu’il était responsable des meurtres mais qu’il préférait mourir chez lui plutôt que devant des centaines de personnes sur la place publique.
Watermelon esquissa un sourire, l’affaire était close. Il se ravisa bientôt car quelque chose n’allait pas, cela ne paraissait pas sérieux, pourquoi Drave aurait-il fait ça ? Quel pouvait bien être son mobile ?

Ses doutes furent bientôt confirmés par la visite le soir même de Béraud :
- Tiens j’ai du nouveau, j’ai examiné le corps et ton suicidé présente une jolie bosse à la tête.
- Et alors ?
- C’est juste qu’il n’a pas pu se pendre tout seul, quelqu’un l’a aidé.
- Mouais encore un cadavre sur les bras et pendant ce temps le meurtrier court toujours.