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Version (ID) : 414
Date : Helia an 78 AUC
Titre : Partie sans titre

Contenu :

Voila l'épisode 3 de mon histoire j'espère que vous etes dans le suspens car c'est le but
Bonne lecture !

Meuretre en Croisiere
Chapitre III

- Oui, d’accord, mais où voulez-vous en venir ? répliqua impatiemment mon interlocuteur.
- Ah ! Je veux en venir aux deux suspects que pourraient être Mme Dugazon et M. Artash. En effet, j’ai consulté la liste des passagers. Ils sont sur le bateau et sont tous les deux des collectionneurs réputés, lui expliquai-je enfin.
- Incroyable ! Vous avez un sens de la déduction très particulier. me dit-il d’un air admiratif.
- N’exagérons pas, répondit l’inspecteur.
- Je vais appeler la police, décida M. Rauch.
- Inutile, je m’occupe de l’affaire, lançai-je.
- Comment ?
- Oui, je suis inspecteur, dis-je en lui montrant ma plaque policière.
- C’est impossible. Nos archives de la mairie disent que vous êtes entrepreneur, s’exclama l’homme.
- Non, enfin, j’ai arrêter il y a cinq mois et depuis j’exerce le métier d’inspecteur, continuai-je.
- Je ne comprends pas. Pourquoi n’avions nous pas modifié cela dans nos archives ? m’interrogea-t-il.
- J’ai omis d’informer la mairie. Ma nouvelle situation est récente, lui répondis-je.
- Eh bien ! Je compte sur vous maintenant. Tout repose sur vos épaules. » conclut-il.
Et il partit encore une fois, intrigué par mes déclarations. Quant à moi, à dix sept heures, je fis des recherches sur mes principaux suspects. J’envoyai un pigeon à mon ami Max Farlan au bureau central qui fit immédiatement des recherches dans nos fichiers. Il me communiqua les renseignements suivants : Mme Dugazon, jeune femme très glamour aux yeux bleus et cheveux blonds, chanteuse de rock très connue grâce à sa carrière, âgée de 28 ans, qui collectionne des objets : poignards, colts ; et M. Artash, directeur d‘entreprises: « Artrash Construction » , Les Maçonnerie les plus grandes de Kiponie, très aimable et très occupé par les affaires, cheveux châtains aux yeux bruns, 37 ans, objets de collection : Plumed, et charrettes
Avec ces recherches avancées, il me parut qu’il pouvait s’agir d’un complot entre Mme Dugazon (le poignard) et M. Artash (la plume). La question était : comment des preuves aussi flagrantes ont-elles pu être placées si près du lieu du crime ?