Dany Victoire
Publié : dim. 28 févr. 2016 19:15
Je me souvient du vent, de l'odeur de la mer... et du bruit sourd qui a suivi.
Mon histoire commence sur la plage. Je me réveille au son des vagues. Idyllique ? Pas avec la couleur rouge du sable qui m'entoure. Rouge... Je saigne ? Je ne sais pas, je me sens faible, et je ne peux pas bouger... Vais-je mourir ici ?
J'entends des bruits de pas. Des animaux vont surement se faire un festin de mon corps meurtri... ... Etrange, je vis encore... J'entends des voix ? Je dois devenir fou !.. Non, je ne suis pas fou, on me parle, n'est-ce pas ? Je fais un signe de la main pour monter que je suis en vie, c'est bien le maximum que je puisse faire. Puis je m’évanouis.
Je me réveille en sursaut ! Est-ce que je viens d'avoir un rêve ? Je regarde autour de moi, mais ne voit qu'une chambre qui ressemble à une chambre d'auberge. Comment suis-je arrivé ici ? Pourquoi je ne me souviens de rien ? Quelqu'un approche.
"Bonjour, je vois que vous vous êtes bien remis de vos blessures, je vous dis pas à quel point on s'est inqui...
-Excusez-moi, mais où suis-je ?
-Ah oui... Vous êtes à l'auberge "Au soleil levant", je vous ai amené ici après vous avoir trouvé sur le plage. Bienvenue à Gypsis !"
Non, ce n'était pas un rêve... Je me suis bien échoué contre ces rochers. Mais une autre question me vient à l'esprit : Qu'est-ce que je venait faire ici ? Aucun moyen de me souvenir d'où je viens... ni de qui je suis !? Comment ai-je pu oublié tout jusqu'à mon nom ?
"Hum... monsieur Dany Victoire, c'est bien ça ? Du moins, c'est ce qu'indique votre chapeau.
-Dany Victoire ? Euh, oui, c'est bien moi. Enfin je pense.
-Si vous voulez bien me suivre, nous allons vous octroyer un lopin de terre à l'extérieur de la cité et de quoi commencer votre vie ici.
-Merci je suppose. Puis-je vous demander quel jour nous sommes ?
-Et bien, on doit être en Prairal de l'an 318."
Quelle étrange manière de compter ! Enfin, me voilà remis sur pied, et sans séquelles. Je pris un repas à l'auberge, trinquai avec les habitants qui se réjouissaient de me voir rétabli, et me dirigea vers mon nouveau chez-moi.
Mon histoire commence sur la plage. Je me réveille au son des vagues. Idyllique ? Pas avec la couleur rouge du sable qui m'entoure. Rouge... Je saigne ? Je ne sais pas, je me sens faible, et je ne peux pas bouger... Vais-je mourir ici ?
J'entends des bruits de pas. Des animaux vont surement se faire un festin de mon corps meurtri... ... Etrange, je vis encore... J'entends des voix ? Je dois devenir fou !.. Non, je ne suis pas fou, on me parle, n'est-ce pas ? Je fais un signe de la main pour monter que je suis en vie, c'est bien le maximum que je puisse faire. Puis je m’évanouis.
Je me réveille en sursaut ! Est-ce que je viens d'avoir un rêve ? Je regarde autour de moi, mais ne voit qu'une chambre qui ressemble à une chambre d'auberge. Comment suis-je arrivé ici ? Pourquoi je ne me souviens de rien ? Quelqu'un approche.
"Bonjour, je vois que vous vous êtes bien remis de vos blessures, je vous dis pas à quel point on s'est inqui...
-Excusez-moi, mais où suis-je ?
-Ah oui... Vous êtes à l'auberge "Au soleil levant", je vous ai amené ici après vous avoir trouvé sur le plage. Bienvenue à Gypsis !"
Non, ce n'était pas un rêve... Je me suis bien échoué contre ces rochers. Mais une autre question me vient à l'esprit : Qu'est-ce que je venait faire ici ? Aucun moyen de me souvenir d'où je viens... ni de qui je suis !? Comment ai-je pu oublié tout jusqu'à mon nom ?
"Hum... monsieur Dany Victoire, c'est bien ça ? Du moins, c'est ce qu'indique votre chapeau.
-Dany Victoire ? Euh, oui, c'est bien moi. Enfin je pense.
-Si vous voulez bien me suivre, nous allons vous octroyer un lopin de terre à l'extérieur de la cité et de quoi commencer votre vie ici.
-Merci je suppose. Puis-je vous demander quel jour nous sommes ?
-Et bien, on doit être en Prairal de l'an 318."
Quelle étrange manière de compter ! Enfin, me voilà remis sur pied, et sans séquelles. Je pris un repas à l'auberge, trinquai avec les habitants qui se réjouissaient de me voir rétabli, et me dirigea vers mon nouveau chez-moi.
