Le Territoire de Kiponie

Vincent Grassot était un biologiste de renom dans le monde ou il vivait, alors qu'il était en voyage en tant que consultant sur le navire de l'apothicaire royale à la recherche de nouvelles plantes... son bateau fit naufrage et ils se retrouva seul cette plage. "C'est impossible... je suis le seul survivant de ce maudit accident, mais où suis-je ? " Quel était ce pays étrange dont la végétation semblait si différente de ce qu'il connaissait ? Il aperçut une cité non loin de là et décida de s'approcher pour se renseigner. A l'entrée de la cité était inscrit : "Bienvenue à Eolis cité nouvelle de Kiponie". Vincent se gratte la tête," Eolis... Kiponie... je ne connais rien de cela" il fouille un peu ces poches et s'aperçoit qu'il n'a sur lui qu'un morceau de fusain détrempé et quelques écus qui ne lui serviront certainement plus. Conscient de la chance qu'il a eu de survivre, il décide de ne pas se découragé par cette nouvelle vie qui s'offre à lui et il décide de ne pas cherché à repartir tout de suite et de tenté d'en apprendre plus sur ce nouveau monde. "Tout recommencer à du bon parfois, j'étais tellement célèbre dans mon monde que j'en avais presque perdu le gout de chercher par moi-même, aujourd'hui, les dieux mon épargné et je vais profité de cette seconde vie. Mais comment faire ?" Une personne passe non loin de lui, par réflexe, sans même savoir s'il sera compris, il lance : "Excusez-moi..."

"Vous parlez donc la même langue que moi, ceci facilitera grandement mon insertion. Vos propos son fort plaisant en tous les cas et s'il est vrai que toutes les habitants de cette cité son aussi aimable que vous je vais me plaire ici !" Il s'approche un peu plus de la ravissante femme et lui demande : "Sans vous déranger plus, je n'aurais qu'une question : cette cité est telle libre de construction? J'aimerais simplement installer une cabane en bois dans les environs pour commencé, puis nous verrons par la suite."

Merci bien mon brave, décidemment je vais me plaire ici. J'entamerais ma cabane dès que possible et j'esserais de devenir un bon citoyen de cette cité. Merci de votre acceuil à tous les deux.
Vincent sert alors la main d e l'homme et baise la main de la femme, en les saluant puis s'en retourne sur la plage étudier les plantes qu'ils à apperçut tout à l'heure.

Vincent remerciat à nouveau cette charmante personne d'un signe de la main et d'un cri lointain "Merci beaucoup, je le ferais soyez en sure... puis il disparut entre les arbres.

A la fin de la journée, Vincent à la tête pleine de toutes ces nouvelles fleurs qu'il vient de découvrir. Il décide de retourner en cité faire un tour pour connaitre un peu mieux les lieux, il trouve la place du marché, passe devant quelques ateliers et fini par le chateau. En lisant le paneau à l'entrée, il s'apperçoit que la gentille dame qui l'a renseigné tout à l'heure est en fait l'Edile d'Eolis. Quel honeur d'avoir rencontré cette personnalité, elle semblait tout à fait accessible et très impliqué. Lui prend alors une idée folle, allé à sa demeure pour discuter quelques kipominutes d'Eolis et de la Kiponie en générale. Insoussiant, il part alors à la recherche de la demeure de dame Penelope, sans même se demandé s'il ne va pas déranger... Il trouve enfin la demeure, mais quelle demeure, elle est splendide, de hauts ramparts qui referme une maison immense et des jardin somptueux avec des fontaines réalisant des jeux d'eau merveilleux. Il ne peut plus se controler, après avoir vu ça il a encore plus envie de discuter avec cette dame dont la réussite semble énorme. Il s'empresse de sonner...

Vincent confus, reprenant afin conscience des réalités, s'aperçoit qu'il dérange quelque peu Penelope : "Non, grâce à vous je n'ai plus de problème aujourd'hui. Simplement, j'ai passé le reste de ma journée à récolter ces plantes que vous voyez là, qui sont si différentes de la d'où je viens. Je vous avoue être fasciné par cette cité et ce territoire qui m'est inconnu. J'aurais voulu en parler un moment avec vous, qui avez l'air de tout connaitre où presque, et dont la réussite ne semble plus à démontrer. Mais je m'aperçoit maintenant que j'ai été bien impoli de venir ici, à cette heure tardive pour vous dérangé, vous qui avez été si gentille avec moi. Je vous pris de m'excuser, et je vous offrirais bien une de ces fleurs, mais ne les connaissant pas, je ne voudrais commettre une mégarde de plus. Je suis désolé." Puis il s'incline devant Penelope pour faire part de son profond respect et de la sincérité de ces excuses.

Vincent était de plus en plus mal à l'aise, aucun son ne sortait de la bouche de Penelope, il n'osait même pas relever la tête, ni tourner les talons. Que faire pour ne pas se mettre dans une situation encore plus inconfortable...

Vincent reprit le sourire : "Merci, merci infiniment madame, soyez sure que je suivrais vos conseils. Je ne vous dérange pas plus, il se fait tard et je n'ai que trop abusé déjà." Vincent, s'inclina à nouveau devant cette personnalité qu'était dame Penelope, puis sans un mot de plus, juste avec un large sourire, il rentra chez lui. Une chose était sure maintenant, il voulait faire de grande chose dans ce nouveau pays...

Voilà maintenant plusieurs année que Vincent avait échoué sur cette plage, mais il n'était plus un naufragé. Non, maintenant c'était un Kiponien à part entière. Il à travaillé dure tout les jour de sa vie depuis son arrivé, pour se construire une petite chaumière au bord de l'eau. Et aujourd'hui, il vient enfin de terminer la construction de son petit atelier simple. En regardant ses bâtiment, il se remémore les personnes qui l'on aidé à son arrivé. Dame Penelope, l'éminence d'Eolis elle-même, dans sa bonté qu'on lui connait, avait guidé Vincent dans ses premiers pas en cité. Et bien qu'il est largement abusé de sa gentillesse, jamais celle-ci ne l'avait renvoyé. Sieur Alibabo avait également aidé Vincent, lorsque celui-ci avait perdu sa bourse, courant à travers toute la cité. Et comme si cela ne suffisait pas, Alibabo lui proposa même un poste de chroniqueur dans son journal, où Vincent conte les Légendes de la Kiponie depuis plus d'un an maintenant.
La larme à l'oeil, Vincent décide qu'il ne peut resté sans rien faire pour remercier ces personnes sans qui il serait peut-être un vagabond aujourd'hui. Une idée lui vient alors, il se rendit dans sa conserverie, et remplit deux gros saladier en terre avec la production de compote de la journée. Il se dit en lui : "La première production de mon atelier pour les premières personnes qui m'ont aidé"
Il pris la route en direction de la demeure d'Alibabo, arrivé devant la magnifique demeure de celui qu'il appelait son ami avec fierté, il frappat à la porte... TOC, TOC, TOC...