Il est de retour le bougre !
Publié : dim. 14 juin 2009 13:17
Soupir ...
Bon, c'est quand que j'arrive ! j'en ai marre de cette foutue flotte ! fit Xavier de sa voix désagréable trahissant un air mêlé d'excitation et d'exaspération ...
Excité car il avait enfin retrouvé la route qui le mènerait en Kiponie, territoire chère à son cœur qu'il n'avait plus vu depuis des années ...
Exaspéré puisque son radeau de fortune menaçait à chaque instant de rendre l'âme, de plus, cette embarcation se déplaçait aussi vite dans l'eau que Yoh Neuf-Cent-Soixante Douzième du nom, c'est à dire qu'il aurait mieux fait de prendre la route à la nage ...
Puis après avoir vogué de longues heures, un pied sur une caisse de bois, le torse bombé, ramant avec hargne et entonnant une douce mélodie ...
TIN-TIN-TIN-TIN-TIIIIIIIIIN !!!
Xavier l'aperçut enfin, il atteignait enfin son but, il voyait la Kiponie, cette terre qu'il avait connu dans sa jeunesse et qui lui était si chère était de nouveau là, sous ses yeux ...
Il était heureux de la retrouver enfin bien qu'il saches que rien ne serait comme par le passé, avant il était, beau, fort et surtout jeune, dorénavant ce n'était plus le cas mais cela ne l'empêcherait en aucun cas de casser la tête de son vieux camarade de route, Yoh 972 ...
Il intensifia ses efforts puis au bout d'un moment posa enfin le pied sur le sable d'or ...
Enfin rentré !
Puis il s'écroula, mort de fatigue et ronflant bruyamment ...
Au bout d'un certain temps, il ne savait guère, quelqu'un vint le réveiller par des :
Bienvenue en terre de Kiponie ! voici des kipons, la monnaie locale, pour construire ta cabane !
Je su... et Xavier intervint alors ...
Ça suffit comme ça ! je sais tout ça ! merci pour la bourse ... il la lui arracha des mains puis fit C'est bon, tu peux partir ! Laisse moi ! je veux pas te tes conseils, va marcher une heure te dis-je ! allé dégage ! Bon j'en ai plus qu'assez ! il prit alors une pierre et la lança sur l'homme venu l'accueillir, ce dernier partit alors en courant le traitant de fou, bon à être enfermé à Lapiaz ...
Enfin, il est parti ! Bon, la taverne !
Puis il marcha en direction de la cité ...
Bon, c'est quand que j'arrive ! j'en ai marre de cette foutue flotte ! fit Xavier de sa voix désagréable trahissant un air mêlé d'excitation et d'exaspération ...
Excité car il avait enfin retrouvé la route qui le mènerait en Kiponie, territoire chère à son cœur qu'il n'avait plus vu depuis des années ...
Exaspéré puisque son radeau de fortune menaçait à chaque instant de rendre l'âme, de plus, cette embarcation se déplaçait aussi vite dans l'eau que Yoh Neuf-Cent-Soixante Douzième du nom, c'est à dire qu'il aurait mieux fait de prendre la route à la nage ...
Puis après avoir vogué de longues heures, un pied sur une caisse de bois, le torse bombé, ramant avec hargne et entonnant une douce mélodie ...
TIN-TIN-TIN-TIN-TIIIIIIIIIN !!!
Xavier l'aperçut enfin, il atteignait enfin son but, il voyait la Kiponie, cette terre qu'il avait connu dans sa jeunesse et qui lui était si chère était de nouveau là, sous ses yeux ...
Il était heureux de la retrouver enfin bien qu'il saches que rien ne serait comme par le passé, avant il était, beau, fort et surtout jeune, dorénavant ce n'était plus le cas mais cela ne l'empêcherait en aucun cas de casser la tête de son vieux camarade de route, Yoh 972 ...
Il intensifia ses efforts puis au bout d'un moment posa enfin le pied sur le sable d'or ...
Enfin rentré !
Puis il s'écroula, mort de fatigue et ronflant bruyamment ...
Au bout d'un certain temps, il ne savait guère, quelqu'un vint le réveiller par des :
Bienvenue en terre de Kiponie ! voici des kipons, la monnaie locale, pour construire ta cabane !
Je su... et Xavier intervint alors ...
Ça suffit comme ça ! je sais tout ça ! merci pour la bourse ... il la lui arracha des mains puis fit C'est bon, tu peux partir ! Laisse moi ! je veux pas te tes conseils, va marcher une heure te dis-je ! allé dégage ! Bon j'en ai plus qu'assez ! il prit alors une pierre et la lança sur l'homme venu l'accueillir, ce dernier partit alors en courant le traitant de fou, bon à être enfermé à Lapiaz ...
Enfin, il est parti ! Bon, la taverne !
Puis il marcha en direction de la cité ...