Indiana Gainzzburg Duc-Prince échoué
Publié : ven. 8 mai 2009 18:57
/Indiana entra dans la salle des présentations, scruta du regard tous les yeux qui se tournaient vers lui... cela faisait plusieurs mois déjà qu'il arpentait Aargoni et apprenait très vite ce nouveau monde qu'était la Kiponie, mais il ne s'était jamais présenté. Le moment était il peut être venu de se présenter./
Kiponiens et Kiponiennes,
Ediles et Edictes,
Vous me voyez de plus en plus sur la scène à m'avancer et à m'entendre parler, mais je crois que l'on ne se connait pas encore très bien... laissez moi vous raconter qui j'étais avant et comment je suis arrivé ici, attention, c'est une longue histoire alors prenez plusieurs choppes e Zub'... ou de ce que vous avez ici.
Tout d'abord, mon nom avec les titres dûment gagné dans mon "ancienne vie", je me prénommais Duc-Prince Indiana Gainzzburg Glacys de Verglie von Pikkendorff. Membre de la lignée royale des Pikkendorff et des Glacys du royaume de Lantenac et dirigeant de la province du Désert de Glace. Cela ne vous peut être pas grand chose, c'est tout à fait normal.
J'étais explorateur et dirigeant, je vivais déjà dans des terres glacées, d'où ma préférence pour l'Aargoni à mon arrivée.
En effet, lorsque l'inspecteur des naufragés est arrivée, il m'a d'emblée demander dans quelle cité je voudrais vivre, moi qui venais à peine d'arriver et que j'avais perdu tout mon équipage de fier pirate de Crab Key. Je me suis résolu à prendre une cité de glace, par nostalgie de mon ancienne terre.
Nous nous sommes toujours posés la question, dans mon ancien monde, ce qu'il y avait au delà de cet océan que nous ne pouvions traversée... des rumeurs couraient sur une possible traversée par un passage souterrain aux extrémités nord-est/ouest et sud-est/ouest. mais personne n'a jamais trouvé le chemin. J'ai financé une flotte que j'ai fait partir de Crab Key, ayant réunis les marins les plus assidus et mes hommes les plus valeureux, après avoir laissé la gestion de ma province à ma femme et la cité à mon fils, nous avons levé l'ancre en direction de l'inconnu.
Nous sommes passé par le passage des 5 pics et de l'école des disciples, de là nous avons logé l'extrémité sud du monde sans descendre plus, des monstres aux tentacules horribles nous barraient la route, sans compter les mouettes sauvages à l'affut du moindre marins sur le pont... nous courrions de très graves dangers dans les eau-sud. Arrivé aux abord de l'Australine, nous avons manœuvré la barque avec précaution pour ne pas heurter le récif de corail, là nous avons pris quelques prisonniers évadés de l'île pénitentiaire de l'Australine. Puis l'équipage est parti au nord, en direction de Santa Banana City, afin d'y déposer nos naufragés des récifs -moyennant pécules importantes, ceux qui n'avaient pas de quoi payer ont été jetés à la mer dans des pirogues de fortune. Nous avons rejoins l'île aux kanards, ultime étape avant le grand saut vers l'inconnu.
Je gravis l'escalier de ma cabine vers le pont supérieur. Le Capitaine Edward Teach m'informait que nous allions bientôt franchir la limite symbolique, celle dont personne n'est jamais revenu. Je regardait derrière moi, nous voyons encore l'île aux Kanards dans la brume, elle devenait de plus en plus petites au fur à mesure que nous prenions le large.
Un cri de joie s'élevait de tout le bâtiment, nous avions franchi la limite.
Les marins, pleins d'enthousiasmes redoublaient d'efforts pour faire au mieux leur travail.
Nous étions désormais en pleine mer, avec aucun repère, désormais nous étions entrain de dessiner une carte, d'explorer une nouvelle voie navigable vers un nouveau monde probable dans notre imaginaire.
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Trois semaines étaient passées depuis notre départ et toujours rien à l'horizon.
Nos réserves de bananes commençaient à manquer et la tension entres les pirates étaient palpables, le capitaine redoublaient d'efforts pour éviter une mutinerie.
Nous avions déjà du jeter à la mer plusieurs cadavres de nos camarades, morts d'une maladie inconnue de notre médecin.
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Quatrième semaine, nous avons essuyé une mutinerie de vieux loups des mers... ils n'y avaient plus de rhum à bord.
Nous les avons jeté à la mer pour que cela ne se réalise plus. Le capitaine commençait également à fatiguer... il semblait attraper la même maladie que les autres pirates morts il y a une semaine de cela. Le médecin le suivait de près afin qu'il vive le plus longtemps possible.
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Un mois s'est écoulé, notre capitaine est mort.
J'ai pris la relève, malgré mes connaissances inexistantes en navigation, les pirates n'ont pas voulus au départ, mais après quelques exécutions sommaires et d'un discours assidus pour les encourager à suivre notre expédition, ils se sont résignés. La nourriture est rationnée mais nous ne mangeons plus à notre faim, celui qui cherche à en avoir plus que les autres est jeté à la mer, sans sommation par ma garde privée. Notre médecin est mort de la mystérieuse maladie qui frappe nos marins. Ils sont fatigués, très pâles et ils perdent leurs dents... Certains murmurent que c'est une expédition maudite.
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Un mois et deux semaines, nous fonctionnons à équipage réduit.
L'homme le plus important est désormais celui de la vigie. Nous sommes n'avons plus grand chose à boire mais nous nous efforçons de partager entres nous.
Tout à coup, la vigie se mit à hurler : Terreuh !
Oui, la terre, nous y voilà !
Un grand bruit s'ensuivit, nous avions percuté un récif.
Le navire coula si vite que nous n'avons eu le temps de savoir où étaient les autres membres de l'équipage, ni à quoi ressemblait la terre annoncée...
Je me suis réveillé sur une plage, aucun membre de l'équipage ne s'est manifesté... ils ont du tous mourir...
Voilà comment je suis arrivé ici.
Kiponiens et Kiponiennes,
Ediles et Edictes,
Vous me voyez de plus en plus sur la scène à m'avancer et à m'entendre parler, mais je crois que l'on ne se connait pas encore très bien... laissez moi vous raconter qui j'étais avant et comment je suis arrivé ici, attention, c'est une longue histoire alors prenez plusieurs choppes e Zub'... ou de ce que vous avez ici.
Tout d'abord, mon nom avec les titres dûment gagné dans mon "ancienne vie", je me prénommais Duc-Prince Indiana Gainzzburg Glacys de Verglie von Pikkendorff. Membre de la lignée royale des Pikkendorff et des Glacys du royaume de Lantenac et dirigeant de la province du Désert de Glace. Cela ne vous peut être pas grand chose, c'est tout à fait normal.
J'étais explorateur et dirigeant, je vivais déjà dans des terres glacées, d'où ma préférence pour l'Aargoni à mon arrivée.
En effet, lorsque l'inspecteur des naufragés est arrivée, il m'a d'emblée demander dans quelle cité je voudrais vivre, moi qui venais à peine d'arriver et que j'avais perdu tout mon équipage de fier pirate de Crab Key. Je me suis résolu à prendre une cité de glace, par nostalgie de mon ancienne terre.
Nous nous sommes toujours posés la question, dans mon ancien monde, ce qu'il y avait au delà de cet océan que nous ne pouvions traversée... des rumeurs couraient sur une possible traversée par un passage souterrain aux extrémités nord-est/ouest et sud-est/ouest. mais personne n'a jamais trouvé le chemin. J'ai financé une flotte que j'ai fait partir de Crab Key, ayant réunis les marins les plus assidus et mes hommes les plus valeureux, après avoir laissé la gestion de ma province à ma femme et la cité à mon fils, nous avons levé l'ancre en direction de l'inconnu.
Nous sommes passé par le passage des 5 pics et de l'école des disciples, de là nous avons logé l'extrémité sud du monde sans descendre plus, des monstres aux tentacules horribles nous barraient la route, sans compter les mouettes sauvages à l'affut du moindre marins sur le pont... nous courrions de très graves dangers dans les eau-sud. Arrivé aux abord de l'Australine, nous avons manœuvré la barque avec précaution pour ne pas heurter le récif de corail, là nous avons pris quelques prisonniers évadés de l'île pénitentiaire de l'Australine. Puis l'équipage est parti au nord, en direction de Santa Banana City, afin d'y déposer nos naufragés des récifs -moyennant pécules importantes, ceux qui n'avaient pas de quoi payer ont été jetés à la mer dans des pirogues de fortune. Nous avons rejoins l'île aux kanards, ultime étape avant le grand saut vers l'inconnu.
Je gravis l'escalier de ma cabine vers le pont supérieur. Le Capitaine Edward Teach m'informait que nous allions bientôt franchir la limite symbolique, celle dont personne n'est jamais revenu. Je regardait derrière moi, nous voyons encore l'île aux Kanards dans la brume, elle devenait de plus en plus petites au fur à mesure que nous prenions le large.
Un cri de joie s'élevait de tout le bâtiment, nous avions franchi la limite.
Les marins, pleins d'enthousiasmes redoublaient d'efforts pour faire au mieux leur travail.
Nous étions désormais en pleine mer, avec aucun repère, désormais nous étions entrain de dessiner une carte, d'explorer une nouvelle voie navigable vers un nouveau monde probable dans notre imaginaire.
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Trois semaines étaient passées depuis notre départ et toujours rien à l'horizon.
Nos réserves de bananes commençaient à manquer et la tension entres les pirates étaient palpables, le capitaine redoublaient d'efforts pour éviter une mutinerie.
Nous avions déjà du jeter à la mer plusieurs cadavres de nos camarades, morts d'une maladie inconnue de notre médecin.
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Quatrième semaine, nous avons essuyé une mutinerie de vieux loups des mers... ils n'y avaient plus de rhum à bord.
Nous les avons jeté à la mer pour que cela ne se réalise plus. Le capitaine commençait également à fatiguer... il semblait attraper la même maladie que les autres pirates morts il y a une semaine de cela. Le médecin le suivait de près afin qu'il vive le plus longtemps possible.
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Un mois s'est écoulé, notre capitaine est mort.
J'ai pris la relève, malgré mes connaissances inexistantes en navigation, les pirates n'ont pas voulus au départ, mais après quelques exécutions sommaires et d'un discours assidus pour les encourager à suivre notre expédition, ils se sont résignés. La nourriture est rationnée mais nous ne mangeons plus à notre faim, celui qui cherche à en avoir plus que les autres est jeté à la mer, sans sommation par ma garde privée. Notre médecin est mort de la mystérieuse maladie qui frappe nos marins. Ils sont fatigués, très pâles et ils perdent leurs dents... Certains murmurent que c'est une expédition maudite.
... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ...
Un mois et deux semaines, nous fonctionnons à équipage réduit.
L'homme le plus important est désormais celui de la vigie. Nous sommes n'avons plus grand chose à boire mais nous nous efforçons de partager entres nous.
Tout à coup, la vigie se mit à hurler : Terreuh !
Oui, la terre, nous y voilà !
Un grand bruit s'ensuivit, nous avions percuté un récif.
Le navire coula si vite que nous n'avons eu le temps de savoir où étaient les autres membres de l'équipage, ni à quoi ressemblait la terre annoncée...
Je me suis réveillé sur une plage, aucun membre de l'équipage ne s'est manifesté... ils ont du tous mourir...
Voilà comment je suis arrivé ici.