[RP] Incendis de l'Asile de Lapiaz

[Antonio]

INCENDIS DE L'ASILE DE LAPIAZ




Ceci est un RP: veuillez a ne pas relier les actions des personnages et les joueurs.

[Antonio]

Pendant la nuit de Brumea an 145, au dessus de la cité de Lapiaz flottaient deux silhouettes ... De taille pratiquement égales elles survolaient la cité et semblaient se diriger vers les hauteurs de la cité ... Après quelques minutes de vols les deux silhouettes se rapprochaient de la terre et se posa sur le sol ..

De taille presque égale, mais tout les deux habillés avec de grands habits noirs, les deux hommes avaient leur visages cachés pas des capuches ..
L'un d'eux commença à parler:

Alors c'est ici, où sont emprisonné quelques soit disant fou ?

[Aracano]

Une seconde voix toute aussi sinistre que la première se fit entendre.

Il faut croire mon frère...les moeurs des humains m'ont toujours semblé icompréhensibles...tout a une raison d'être dans ce monde maudit...

La créature regarda l'édifice dans tous les angles.

Que faisons-nous de ce bâtiment mon frère?

[Antonio]

Le première voix résonna une fois de plus:

Je ne sais pas trop ... A vrai dire sa structure a l'air assez fragile ... on pourrait facilement le détruire .. pour faire comprendre aux hommes que les démons ne sont pas qu'une légende .. mais cela ne serait-il pas un peu trop ... gentil ? Examinons un peu ce bâtiment et aussi ces sois disant "fou"

les deux silhouettes s'avancèrent et entrèrent sans difficulté dans le bâtiment

[Aracano]

La créature émit un rire sinistre.

Regarde tout ce bois mon frère, c'est un paradis pour nous, une étincelle et tout vole en fumée. Ces humains apprendront de cette erreur.

Nous sortons de l'ombre.

Ils finirent d'inspecter le reste du bâtiment.

[Antonio]

Un léger sourire démoniaque ce dessina sur la première silhouette.

Tu as raison .. Ces humains se croient tout permis .. Ils se sentent puissants, mais son en réalité bien faible par rapport à nous: les démons ...
Montrons leur qui sont les vrais maîtres de ce monde ...

Pendant leur chemin un fou apparurent devant eux et se mis a les regarder bizarrement avant de se jeter sur eux .. l'individu crama directement et on distingait quelques paroles en même temps que les cris suppliant d'horreur de l'individu

Comment a-t-il osé touché mes habits ce sale rat ...

Répliqua le démons en s'éloignant ...

[Aracano]

Ils devront pourtant le retenir mon frère sinon ils finiront tous comme ça.

Les deux silhouettes se rendirent à l'extérieur. La deuxième créature montra une fenêtre à l'étage.

Regarde, si nous arrivons tous les deux à viser dans cette fenêtre, nous pouvons attendre la voute centrale et faire bruler l'édifice comme une brindille.

La deuxième créature regarde ensuite une fenêtre qui donnait dans le sous-sol. Elle s'y introduisit en remarquant toute la cervoise qu'il y avait, elle renversa tous les tonneaux pour créer une marre de produit inflammable. Elle ressortit et lança à l'autre silhouette.

Vise la fenêtre mon frère, je m'occupe du sous-sol.

Elle attendit ensuite le signal pour y mettre le feu.

[Antonio]

Après avoir nettoyer son manteau et vu son frère renverser les tonneaux:

Je pense que ça suffira à réduire en cendre ce pitoyable bâtiment ...

Puis d'un geste rapide plusieurs flammes sortirent de sa main et atterrirent dans la pièce du haut ...
Le bâtiment prit rapidement feu et la structure interne commençait à bruler ..

[Aracano]

La deuxième silhouette mit le feu à toute la cervoise renversée qui s'embrasa. En quelques minutes, les deux points de flammes se rejoignirent au centre de l'édifice. La créature allait repartir mais...

Signons-nous notre oeuvre mon frère?

[Antonio]

Oui tu as raison .. mieux vaut signé cet acte de bienfaisance ... avoir balayé tout ces fous .. on devraient être loué pour ça ..

Les deux démons marquèrent en flammes leur deux noms sur la terre en face de l'édifice incandescent.

on pouvait facilement lire :

Les Frères démons: Aracano et Antonio

[Aracano]

Après avoir signé, les deux créatures s'envolèrent laissant la surprise aux Lapiazotes paisiblement endormis de découvrir leur asile dont ils étaient si fiers réduit en cendres.

Quelle serait leur prochaine cible?

[Antonio]

Ils partirent ensuite en survolant Lapiaz en riant ..

Cette nuit je vais me délecté de la mort de tous ces humains ...

//Les Lapiazotes et Kiponias peuvent maintenant intervenir pour réagirent suites a ces actions .. //

[leonardus]

Chaton, pour une fois insomniaque, vit une rougeur inhabituelle illuminer le ciel au Nord de Lapiaz. Elle se dirigea vers cette lueur, mi inquiète, mi curieuse.
Plus elle sortait de la cité, plus le bruit de crépitement se faisait distinct. A n'en pas douter, il y a avait le feu en forêt. Elle accéléra puis remarqua que la lueur venait peut-être de l'asile. Elle finit son voyage dans une course effrénée.

Leo stoppa net en sortant de la forêt. Devant elle, un immense brasier dont le vent agitait la cime en de furieux débattements.
Par l'IS ! ...

chaton était abasourdie. Comment cela a-t-il pu bien arriver ? Il n'y a plus personne qui habite ici au long cours.

Se rappelant les quelques fois où elle fut entrée, Chaton eut un frisson malgré la chaleur de l'incendie.
Cette vieille bâtisse... avec des rats plus gros que moi ... bon, presque ...
N'empêche... quelles frayeurs j'ai eues en ces murs...

Ce sera l'occasion de reconstruire dans le neuf, sans rats ni fantômes...

Chaton resta là, le regard perdu, hypnotisée par les flammes.

[leonardus]

Comme se réveillant d'un coup, Chaton se mit en mouvement vers Lapiaz. Il lui fallait trouver de l'aide pour éteindre ce feu (si c'était encore possible).

[leonardus]

A cette heure, toutes les rues étaient désertes. Seule restait éclairée la taverne.
Quelques insomniaques exténués insomniaquaient en discutant. Personne ne prêta l'oreille aux cris pourtant perçants du persan.

Elle finit par revenir, trainant un unique seau, moitié vidé de son eau pendant le long trajet.

Enfin arrivée sur les lieux du désastre, elle ne put que constater son impuissance avec ses si faibles moyens.
Résignée, Chaton s'assit près du seau, à bonne distance des flammes, et lapa quelques gorgées. Cet exercice lui avait donné soif.
L'eau avait un goût de terre.

J'aurais dû y mettre de la cervoise, se dit-elle dépitée.