Les citoyens gypsotes ne sortent pas de chez eux, ils ne viennent pas sur la PP, ils ne participent même pas à la vie de leur assemblée provinciale, ils ne viennent pas dans leur coopérative pour demander les primes offertes.
C'est pas la peine de rêver et de croire qu'ils viendront voter ici, ils ne le feront pas et vous le savez tous.
C'est pas la peine d'être déçu de leur manque de participation, c'était prévu et vous le saviez tous également.
Malheureusement, on ne peut pas changer leurs habitudes du jour au lendemain, d'un coup de baguette magique.
Et comme ils ne sortent jamais de chez eux pour donner leur point de vue, le seul outil dont dispose l'édile pour connaître leur avis est le référendum citéen.
Mais si l'édile considère le référendum citéen juste comme un sondage et si il fait systématiquement l'inverse (ou rien du tout) de ce que les citoyens ont votés, ils finiront par se rendre compte que voter aux référendums ne sert à rien et ils ne voteront plus.
Il ne faut pas gâcher le dernier outil qui permet de connaître l'avis des citoyens.
Au contraire, si l'édile considère le référendum comme un vote souverain des citoyens et respecte systématiquement leurs décisions, alors les citoyens continueront de voter car ils auront conscience de l'utilité de leur vote.