Beshrhell
Publié : jeu. 10 nov. 2011 17:50
... j'étais sur un grand bateau, en famille on voyageait à travers les mers quant tout à coups nous fîmes face à cette horrible tempête. Le bateau s'est retourné, les structures fracassantes se détachèrent du navire, notre beau paquebot. Je n'entendais que les cris de mes proches et les sons déchirants qui nous entouraient. Puis soudain, je reçu ce qui devait-être un débris sur la tête, je perdis connaissance.
Quand je me suis réveillé, je gisais sur du sable chaud et humide. Les vagues me balançant vers l'avant. J'étais perturbé, ahuri mais conscient. Le coups que j'avais reçu dans la nuque m'avait fait oublier qui j'étais. Me levant en titubant, aveuglé par les puissants rayons de soleil, je distingua un groupe de personne au loin près des végétations. Des indigènes? Je n'aurai pu le dire, mais il me sembla qu'ils avaient vu ma présence, car ceux-ci, ils se dirigèrent vers ma personne. Tous souriait, me serrant les mains, les bras et le torse. Il me parlaient avec des expressions et des langages qui m'étaient inconnus. Ce que je ressenti, n'était pas de la perturbation, ni du rejet à leur égare, mais plutôt de l'accueil et du réconfort.
Sur cette île, ou ce nouveau monde, où tout m'était inconnu, j'allais devoir m'adapter et apprendre afin de survivre dans cette communauté étrange. On m'attribua un nouveau nom, de quoi loger, une petite bourse avec ce qui devait-être la monnaie locale. On me promis une bonne attention et des conseils.
Bien que cela puisse paraître effrayant et frustrant, je me sentais revivre, ou du moins renaître. La chef de la tribu me donna un parchemin où on l'on pouvais lire en latin: "Bienvenue sur le territoire de Kiponie, cher colon Beshrhell, je vous invite à rejoindre votre nouvelle demeure dans la cité d'Eolis".
...Je m'appelle Beshrhell, c'est tout ce je sais de moi maintenant.
Quand je me suis réveillé, je gisais sur du sable chaud et humide. Les vagues me balançant vers l'avant. J'étais perturbé, ahuri mais conscient. Le coups que j'avais reçu dans la nuque m'avait fait oublier qui j'étais. Me levant en titubant, aveuglé par les puissants rayons de soleil, je distingua un groupe de personne au loin près des végétations. Des indigènes? Je n'aurai pu le dire, mais il me sembla qu'ils avaient vu ma présence, car ceux-ci, ils se dirigèrent vers ma personne. Tous souriait, me serrant les mains, les bras et le torse. Il me parlaient avec des expressions et des langages qui m'étaient inconnus. Ce que je ressenti, n'était pas de la perturbation, ni du rejet à leur égare, mais plutôt de l'accueil et du réconfort.
Sur cette île, ou ce nouveau monde, où tout m'était inconnu, j'allais devoir m'adapter et apprendre afin de survivre dans cette communauté étrange. On m'attribua un nouveau nom, de quoi loger, une petite bourse avec ce qui devait-être la monnaie locale. On me promis une bonne attention et des conseils.
Bien que cela puisse paraître effrayant et frustrant, je me sentais revivre, ou du moins renaître. La chef de la tribu me donna un parchemin où on l'on pouvais lire en latin: "Bienvenue sur le territoire de Kiponie, cher colon Beshrhell, je vous invite à rejoindre votre nouvelle demeure dans la cité d'Eolis".
...Je m'appelle Beshrhell, c'est tout ce je sais de moi maintenant.