Nena
Publié : dim. 23 août 2009 18:25
Lors d'un tour du monde à bord de mon voilier, une violente tempête se leva. Je montai sur le pont, essayai de braver les éléments, mais les éléments l'emportèrent. Une rafale de vent me déstabilisa et je tombai, ne manquant pas de me cogner contre la rambarde.
Quand je repris connaissance, le ciel était bleu. Combien de temps s'était écoulé ? je n'en savais rien. où je me trouvais ? je ne savais pas non plus.
tout ce que je savais c'est qu'il me serait impossible de repartir : mon bateau reposait sur des rochers dans un état que je préfère oublié, je n'avais plus un sous en poche. Je pris de l'eau, quelque victuailles dans mon sac et je décida d'escalader ces rochers.
Après deux jours de marche, je vis enfin la civilisation. J'étais soulagée, il ne me restait plus rien dans mon sac.
Une heure plus tard je me trouvais au portes de la cité de Lapiaz, on m'y accueillit très bien, et je décida de m'y installer.
Cela fait maintenant 4 kipomois que j'y vis, je suis une pauvre petite paysanne sans champ. Je vis de petit boulots à droite à gauche, menuisier, boucher.
J'économise pour pouvoir m'acheter un champ. Ensuite je verrais bien où l'avenir me mènera, je n'ai pas de projet de carrière bien défini. je resterai peut être paysanne toute ma vie.
Bonne journée
Nena
Quand je repris connaissance, le ciel était bleu. Combien de temps s'était écoulé ? je n'en savais rien. où je me trouvais ? je ne savais pas non plus.
tout ce que je savais c'est qu'il me serait impossible de repartir : mon bateau reposait sur des rochers dans un état que je préfère oublié, je n'avais plus un sous en poche. Je pris de l'eau, quelque victuailles dans mon sac et je décida d'escalader ces rochers.
Après deux jours de marche, je vis enfin la civilisation. J'étais soulagée, il ne me restait plus rien dans mon sac.
Une heure plus tard je me trouvais au portes de la cité de Lapiaz, on m'y accueillit très bien, et je décida de m'y installer.
Cela fait maintenant 4 kipomois que j'y vis, je suis une pauvre petite paysanne sans champ. Je vis de petit boulots à droite à gauche, menuisier, boucher.
J'économise pour pouvoir m'acheter un champ. Ensuite je verrais bien où l'avenir me mènera, je n'ai pas de projet de carrière bien défini. je resterai peut être paysanne toute ma vie.
Bonne journée
Nena