[RP] Longtemps après...

[Hugues0Capet]

Banni il y a maintenant longtemps du territoire de Kiponie, l'homme aux tendances royalistes a vécu depuis tout ce temps reculé de ce monde.
Vraisemblablement loin de tout... L'homme paraissait fatigué par le temps et par cette vie de misère.
C'est ainsi qu'il se présenta à Eolis, sa cité de toujours. Il avait peur tout en étant heureux de retrouver ces endroits si importants à ses yeux.
Au fil des pas il se remémorait de moments et de vieux souvenirs... Les gens ne semblait plus le reconnaître.
Il savait cependant que si l'édile de la cité était encore Pénélope, cette dernière pourrait peut être le recevoir.
Il se présenta devant la grande porte du chateau. Hésita un instant, puis ouvra finalement...

[Hugues0Capet]

La porte était fermée. Personne ne répondait... Où étaient ils ? Il n'en avait pas la moindre idée.
N'y avait-il aucun représentant pour le recevoir ? Que ce soit l'édile ou un de ses conseillers ?

[Hugues0Capet]

Sans réponse, il parti finalement trouver du papier et une plume au marché qui se situait à quelques pas du château.
L'homme qui n'était plus que l'ombre de lui même trouva un coin entre la taverne et une vieille bicoque délabrée pour écrire sa lettre.
Lettre adressée à l'Instance Suprême en personne.
Qu'est ce qu'elle contenait ? Une requête afin d'écourter sa peine et lui permettre de revivre sur le territoire Kiponais. Telle était la raison de sa venu.
Il souhaitait retrouver sa vie d'autrefois. Pouvoir jouir du droit civique que chaque citoyen Kiponais peut prétendre posséder. Et surtout...
Pouvoir reprendre sa carrière politique, après cette centaine de Kipo-années de repos, de réflexion et de repentis.
Il s'empressa de la terminer puis de l'apporter au postier le plus proche...
Il n'y avait plus qu'à attendre...

( Quelques jours après )

Hugues s'empara de la lettre qu'il venait de recevoir. Il ne pu s’empêcher de l'ouvrir immédiatement...
Écrite de la main de l'Instance Suprême, en quelques mots, elle disait brièvement " Tu as une seconde chance ".
Il était soulagé de savoir qu'il pouvait enfin revivre... Ne plus se cacher...
Il ne pouvait s'empêcher de sourire.
Hugues Capet était enfin de retour...