[RP] Au voleur

[goldenboyvince]

Voilà quleques moi que Vincent est là, il a réussit à trouver un peu de travail et a économisé quelques kipons. Ils met ses kipons dans sa bourse en tissus qu'il accroche à sa ceinture, et part au marché acheté quelques planche pour commencer ça cabane en bois. Arrivé au marché, il trouve un menusier qui accepte de lui vendre une dizaine de planches contre la moitiée de ses kipons. Vincent accepte et place cinq planches sur chacune de ses épaules et en les tenant fermement des deux mains, il tente d'avancé doucement en faisant attention de ne blessé personne. Mais à peine a-t-il fait deux pas, qu'un homme lui arrache sa bourse et part en courrant. En une seconde Vincent se dit : Au non, c'est pas vrai, je ne peux pas me retourné pour le voir sinon je risque de huerter quelqu'un avec mes planches, je ne peux pas non plus les laisser ici pour lui courrir après, je risque de mes les faire voler aussi, il me faut de l'aide il cri alors : "AU VOLEUR ! AIDEZ-MOI S'IL VOUS PLAIT !" ...

[alibabo]

alibabo entendit crier dans les rues d'Eolis. Il tendit l'oreille et compris que quelqu'un appelait au voleur... Il était stupéfait. Jamais il n'avait eu connaissance de tels faits dans sa cité. Il s'approcha pour voir de quoi il retournait...

[goldenboyvince]

"Monsieur, je vous en prie aidez-moi, un homme vient d'arracher la bourse que j'avais à la cienture, toutes mes économies était dedans." ...

[alibabo]

alibabo vit un jeune homme inconnu transportant des planches. C'était lui qui semblai si désemparé...

Quand le jeune homme lui parla, alibabo tenta de le rassurer :

Calmez-vous, jeune homme, je vais voir ce qui se passe. Je ne peux pas croire qu'un de nos citoyens ait pu voler un nouvel arrivant. Il s'agit peut-être d'un accident, votre bourse a pu se prendre dans un clou et être arrachée de votre ceinture. Portez votre chargement chez vous, je vais regarder dans la rue si je ne vois rien.

[goldenboyvince]

Vincent reprit son calme : "Vous avez raison, peut-être que je panique un peu vite, je vous fais confiance, merci pour votre aide. Je porte ces planches chez moi et je reviens." Vincent rentre alors chez lui, il ferme ses planches dans l'entrepot et s'empresse de retourner au marché voir si l'homme qui l'a aidé a du nouveau...

[penelope]

penelope détestait intervenir sur la voie publique, encore plus lorsqu'elles ne connaissait pas les intervenants. Elle fut soulagée de voir Alibabo prendre les choses en main, les hommes se rendent parfois utiles, songea t-elle, elles s'approcha du lieu du vol supposé, persuadée que cet incident ne prenait racine que de l'angoisse du nouveau naufragé. Un vol à Eolis cette cité si paisible, elle ne pouvait y croire.

[goldenboyvince]

Vincent voit le visage de Penelope , cela le rassure de voir un visage connu. Il s'approche d'elle et l'interpelle : "Bonjour madame, je suis désolé de vous ennuyer deux foix en si peu de temps, mais il semblerait que l'on m'est volé ma bourse. Un homme m'est venu en aide heureusement, je ne sais pas qui il est mais il est allé se renseigner sur ce méfait. Je suis surpris, vous qui m'aviez dit que tout le monde était civilisé ici."

[siryack]

Siryack qui se promenait dans les rues d'Eolis, aperçu Pénélope discuter avec ce jeune homme qu'il ne connaissait pas...
Il se permit d'intervenir.

Ho ! Si votre bourse a été dérobé, ça ne peut en aucun être l'oeuvre d'un éolien.
Sans doute un commerçant peu scrupuleux désargenté, ayant fait une mauvaise affaire...
Ceci dit, n'allons pas en conclusion hâtives.

Etes-vous certain que vous ne l'avez pas égaré dans quelques endroits ?

[goldenboyvince]

Vincent, un peu agassé par toute cette histoire se trouve légèrement véxé par cette homme qui entre dans la discution sans même se présenter, et qui l'accuse presque de mentir. Il lui rétorque : "Tout d'abord Monsieur, nous ne nous connaissons pas et je vous trouve bien impoli d'entrer dans notre discussion sans même vous présenter. Et si vous voulez tout savoir, je ne suis pas sure qu'on me l'ai volé mais une chose est sure, je ne l'ai pas égaré. Ma bourse était fermement accrochée à ma ceiture et j'ai bien sentit tirer dessus, malheureusement, les deux mains prises par mon chargement, car je portais des planches à ce moment là, je n'ai pu réagir. Heureusement, un homme est venu à mon aide et est partit se renseigner sur cette histoire, je suis donc allé déposer mes planche et à mon retour j'ai rencontré mademoiselle ou madame Penelope (se tournant vers celle-ci) excusez-moi si je ne le sais pas encore. Voilà toute l'histoire, j'espère maintenant que cet homme qui m'a aidé va bientot revenir avec de bonnes nouvelles."

[alibabo]

alibabo arriva tout essoufflé sur la place. Il s'aperçut que le jeune colon qui criait tout à l'heure était revenu et que plusieurs Eoliens l'écoutait raconter son histoire.

Il tendit le bras en direction du marché et ayant repris son souffle expliqua :

- Je crois que je l'ai vue ! Il s'agit bien d'une bourse en cuir vert foncé ? Si c'est cela, j'ai aperçu à l'angle du marché un cheval qui machônnait ce qui ressemblait à une bourse. Mais je n'ai pas pu le rattraper, son propriétaire avait l'air pressé de quitter le quartier. Il faut que nous soyons plusieurs pour le rattraper avant qu'il n'ait finit de tout manger. Il traîne une charrette de fumier, ça ne devrait pas être difficile de le retrouver, ne serait-ce qu'à l'odeur !

[goldenboyvince]

Vincent, repris un peu espoir : "Ma bourse est en tissus mais elle est bien vert foncé, le cheval à du la prendre pour une pomme et l'arracher de ma ceinture, cependant, elle n'est guère solide, j'ai bien peur qu'il ne finisse par en avoir raison et qu'il avale mes quelques économies. A plusieurs nous pourrions le rattraper, il suffit de couvrir les différentes rue qui parte de la place, mais je ne vous ai que trop sollicité déjà et je comprendrais tout à fait si vous aviez autre chose à faire."

[goldenboyvince]

Espérant tout de même une réponse positive à sa demande d'aide, Vincent patiente quelques instant avant de partir à la recherche de sa bourse. Il se demande si quelqu'un va l'accompagné, il en a déjà tellement demandé que s'en est presque incorrect de sa part d'en attendre d'avantage, mais il n'a pas le choix, il ne connait personne et toutes ces économies sont dans cette bourse. Il insiste une dernière fois et comme s'ils étaient amis depuis longtemps, il décide de s'adresser à ces braves gens comme suit : "Qui est avec moi ?"

[alibabo]

alibabo lui sourit. Il avait récupéré et était prêt à repartir, même s'il n'était pas un grand sportif :

- Moi, bien sûr ! Je vais retourner immédiatement vers le marché, puisqu'apparemment il s'agit bien de votre bourse. Le marchand m'était inconnu, il ne devait donc pas s'agir d'un Eolien. Je me dépêche donc, il ne faudrait pas qu'il quitte la cité trop vite. Je vous conseille de vous diriger vers les portes de la cité par un autre chemin pour multiplier nos chances.

alibabo se remit à courir, bien décidé à ne pas laisser dans l'ennui un jeune colon de sa cité. Il espérait aussi renconter sur son chemin des amis qui pourraient l'aider dans sa recherche.

[goldenboyvince]

Vincent sourit à son tour, après Penelope, il pouvait maintenant compter sur une autre personne. Il répondit : "Entendut, je ne connais pas très bien la cité mais je sais où se trouve les portes par lesquelles on doit passé pour entrer et sortir de cette cité, je vais m'y rendre en passant par la rue de la papetterie. J'y cours, merci pour votre aide, disons que 'lon se retrouve aux portes si on ne le voit pas. A tout de suite !" Puis Vincent prit ces jambes à son cou et grace au ciel, en chemin, il apperçoit le purinier. Il l'arrête : "Excusez-moi... Excusez-moi... Je suis désolé de vous arrêter comme ça, mais votre cheval à arraché la bourse que j'avais à ma ceinture, comme elle est verte il a dut la prendre pour une pomme, et je voudrais la récupérer." Malheureusement, lorsque Vincent s'approche de la tête du cheval, le purinier lui dit : "Ecoutez-moi, chu bin désolé, ma j'ai fait cracher s'te cochonerie qu'il avait à la bouche dans la charette du ramasseur d'ordure, y a tout juste deux minutes, désolé m'sieur ma chu pas d'ici, alors j'va y aller maintenant." Vincent s'empresse de rechercher l'homme qui l'aide, il cherche de tout les côtés, soudain, il l'apperçoit, mais il a un problème, entre tous ces évènements il ne lui a pas demandé son nom : "Monsieur... Monsieur..."

[alibabo]

Hors d'haleine, alibabo s'était appuyé à un mur pour reprendre son souffle. Il avait beau avoir cherché dans tous le marché, il n'avait pas trouvé trace du cheval. Pauvre jeune homme, à peine arrivé à Eolis, il était déjà ruiné ! A moins que la charrette ne se soit effectivement dirigée vers les portes de la cité. Il fallait donc aller par là maintenant, ne serait-ce que pour dire au jeune colon inconnu qu'il n'avait malheureusement pas réussi à retrouver sa bourse.

Le soleil commençait à être haut et il faisait chaud. alibabo s'essuyait le front avec son bonnet route et jaune quand il entendit une voix angoissée appeler : Monsieur, monsieur...

Comme il ne semblait y avoir que lui dans la rue, il releva la tête pour voir si ce n'était pas lui qu'on appelait.